Acrostiches spadois
Acrostiches réalisées par les filles:
S -> Soirées
P -> Partage
A -> Amitié
S -> Superbe ville
P-> Pas beaucoup de déchets
A-> Aaaaaaaa, que des arbres !
M -> Magnifique
A -> Activités
M -> Magique
B -> Ballade
A -> Aventure
Y -> Youpie !
E -> Equitation
M -> Magnifique Domaine
A -> Amitié
M -> Mmmmmm… Que la nourriture est bonne !
B -> Beaucoup de chambre
A -> Ambiance
Y -> Y a qu un Mambaye !
E -> Extra !
C -> Cool !
O -> Ooooo, il a fait un broshing !
R -> Rigolo
R -> Rrrrrr, que mes élèves sont bizarres !
I -> Intelligent
L-> Logique
L -> Louche
O -> Original
N -> Nana na, pas de discussions !!
Petit article des garçons…
Aujourd’hui nous avons rencontré Antonio .
Antonio était notre guide à la mine de Blégny.
Antonio était gentil et avait l’amour de son travail ; nous avons eu beaucoup d’émotion en l’écoutant parler et nous avons un grand respect pour lui. Nous étions captivés par l’histoire de sa vie.
Antonio est un ancien mineur ; il vient du Portugal, est venu en Belgique pour gagner de l’argent. Il a commencé dans la mine à 14 ans et y a travaillé jusque 1988.
IL nous a expliqué les dangers du travail dans la mine : le gaz qui peut provoquer des explosions. Pour détecter la présence de gaz on utilisait des lampes « anti-grisou » et des canaris. La poussière était un autre danger qui provoquait des maladies en entrant dans les les poumons. Pour se protéger, Antonio utilisait son foulard. Les foulards servaient aussi à stopper les hémorragies en cas de blessures ou pour éponger la sueur car la température dans la mine atteignait entre 40 et 50°C.
En descendant avec la cage, Antonio nous a parlé de son travail. La peur était constante ; les mineurs avaient peur de ne plus remonter à la surface. Pour combattre la peur, ils chantaient et faisaient des blagues. Le bruit des machines était fort et rendait les mineurs sourds.
Antonio ne parlait jamais de son travail à sa famille parce qu’il ne voulait pas les inquiéter. Lorsqu’il rentrait de la mine, ses enfants lui disaient qu’il était bien maquillé : une vraie « gueule noire ».
Le travail dans la mine était difficile. Des chevaux étaient utilisés pour tirer les wagons de charbon ; ils pouvaient tirer 10 à 15 wagonnets. Ils passaient toute leur vie dans la mine et devenaient aveugles et malades. Lorsqu’on ne pouvait plus les utiliser pour tirer des wagonnets, on les remontait à la surface et on les laissait mourir de vieillesse. Les chevaux ont été remplacés par des locomotives.
Aujourd’hui nous avons rencontré un homme pas comme les autres, qui a réussi à nous captiver. Nous avons envie de suivre ses conseils et de travailler à l’école pour obtenir notre diplôme.
Michée, Kazim, Kevin, Manu, Simon, Ayoub de 1C5 et Mme Gochet
PS Simon veut travailler à l’école
Il y avait énormément d’activités !
Y’a beaucoup d’acrostiches que j’ai fait !!